Kajan Alyera
from the planet vesta
dream team.
— Glory is fleeting, but obscurity is forever. || Kajan A.
Kajan Alyera
I am tired and sick of war.
have lived long enough to satisfy both nature and glory.
Gentle Summer
Oscar Isaac
PRE-LIEN
VESTA
01trigger warnings
02identité
03personnalité
04Croyance
ABOUT ME
QUESTIONS
01No pain.
Le sang coule d'un bras ouvert sur plusieurs centimètres de longueur, de profondeur. L'os se devine dans le magma rougeâtre, qui fait tourner sa mère de l'œil. Son frère crie après le médecin. Son père, lui, le toise, l'air suspicieux. 'Est-ce douloureux, Kajan? '. L'enfant baisse ses yeux chocolat, sur son membre blessé, les yeux curieux et étonné. Il les redresse vers son imposant paternel, aucune émotion ne transparaît alors. 'Non, père.' Le diagnostic est sans appel, l'enfant souffre d'hypoesthésie. Jamais il ne ressentira ni la douleur, ni la chaleur, ni le froid. Sa mère le couve, son père l'endurci, son frère veille sur lui.02Aureum.
'Qu'est-ce que tu lui as fait, Kajan ?'. Sa mère hurle, alors qu'il regarde au sol un des domestiques qui convulse, ses yeux se révulsent, alors qu'il semble souffrir. Il n'y a toujours pas d'émotions dans les yeux de l'Alyera, cela ne l'atteint pas. Il ne connaît pas la douleur, mais il aimerait. Son regard se redresse vers sa mère, froid et glacial, comme son père. 'Je lui ai demandé de souffrir, et ce qu'il fait. ' L'incompréhension, avant la lumière. Par simple modulation de sa voix, Kajan plie les autres à sa volonté en influent sur leur système nerveux. Douce ironie, qu'un être au système nerveux défaillant, puisse influer sur celui des autres. 03Serving the family.
De carrière militaire de pilote à interrogateur, Kajan aura servi sa famille jusqu'au bout. Assurer ses arrières, comme ses avoirs. Des années de service, d'abord pour son père et ensuite, pour son frère. ' Je ne te demande que ça. Cela ne me semble pas grand-chose.' Les yeux chocolat du cadet fixe le paysage enchanteur de la planète qui est la leur. ' Je n'en vois pas l'intérêt. Tu as un fils et une fille, c'est bien suffisant.' L'aîné soupire, son bras se pose sur ses épaules et il lui fait alors face. ' Kajan, fait le pour moi... ' Son regard est dur, froid, glaciale, rappel sans arrêt ce qu'était leur père. ' Il sera fait selon tes ordres, mon frère. ' 04Husband and father.
Lith est belle, magnifique, ses yeux bleus et ses cheveux sont de feu. Envoutante créature, qui a su séduire son âme, son cœur. Son alter-ego, son double dans cet univers. Pourtant, elle est libre, autant qu'elle a attachée à lui. Une seule condition à remplir et elle le fait avec brio. ' Ne sont-ils pas adorables, lorsqu'ils sont endormis, main dans la main, mon aimé ? ' Kajan glisse son doigt sur les mains serrées de ses enfants, il n'en perçoit pas la chaleur, mais la douceur lui chauffe le cœur. ' En tous points. La fierté d'une maison. L'orgueil de leur père. ' Les lèvres de Lith se pose sur sa nuque. ' Je pensais que j'étais ton seul orgueil. ' Le choc du brun et du bleu, si différent et complémentaire. ' Non, tu es plus que cela, tu es ma folie. '05Uncle.
' Mon oncle, qu'est-ce que tu deviendra, quand je serais Duc ? ' L'enfant est jeune, il est insouciant. L'oncle est froid en apparence, mais son sourire lui est sincère et tendre. ' Je serais ce que tu me demandera d'être. ' Sa main glisse dans les cheveux de son neveu, tandis que sa nièce s'attache à son bras. ' Et si c'est moin la Duchesse? ' Le même regard, la même tendresse. ' Peu importe, qui ce sera. Je vous aiderai et vous servirai, comme votre père et notre père avant lui. Et je vous aimerai, comme si vous étiez mes enfants. ' L'amour d'un oncle, quand un père n'a pu les aimer. Amour déchirant et maudit à jamais, entâcher par l'infâmie. 06Neptune.
Des brèches, il y en a toujours, mais il faut les combler. Chercher d'où elles viennent et qui sont les responsables. Ce soir là, sous la couverture d'un nom d'emprunt, il croise sa route ; il croise ses yeux si semblables aux siens, mais qui ne sont pas éteint. Son coeur s'est emballer, son âme a semblé trouver en lui, le même écho que pour son épouse. Peut-on aimé plus d'une personne ? Le jeu de la séduction, il s'y est laissé prendre, comme un adolescent malgré son grand âge. Il aurait dû l'enmener et le faire parler, au lieu de quoi. ' Et si je veux vous revoir ? Je ne sais même pas votre nom. ' Un sourire espiègle s'est imiscer sur son visage. ' Leto. Et je saurais vous trouver. ' Pour autant, il ne l'a jamais fais. En silence, de loin, il observe cet homme depuis près de dix ans, sans jamais mordre dans le fruit défendu.L'ordre, il y a à adhérer par la seule manifestation de sa capacité et il se satisfait très bien de sa petite place en son sein. Savoir qu'on n'est pas le seul dans l'univers à être différent à quelque chose de rassurant. Pour autant, se considère-t-il comme un élu ? Peut-être pas. Mais il est reconnaissant à la Déesse de lui avoir insufflé cette compétence, qui lui est bien utile. L'ordre, la déesse, il leur est fidèle autant qu'à sa famille. D'ailleurs, il n'est pas de secret pour lui, que sa famille entière croit en la déesse depuis des générations, sans jamais le dire ouvertement.
Oui, il l'est, mais pas pour des raisons de vénérations ou de loyauté. En vérité, c'est plus une vision de paix et de tranquillité mentale. Autant ne pas se faire de l'Empire un ennemi. Et les Alyera ont toujours été du genre à ne pas se mêler des affaires de l'empire, à rester dans leurs coins, gérer leurs affaires, en paix. De plus, sa famille entière est liée à l'Empire par un pacte morbide, par le biais de l'extraction du nectar. L'Empire a besoin d'eux, autant qu'ils ont besoin de l'Empire. Qu'adviendrait-il, si l'univers apprenait d'où vient cette douce drogue qu'est le nectar?
Kajan Alyera
from the planet vesta
dream team.
Re: — Glory is fleeting, but obscurity is forever. || Kajan A.
A story of love & hate
Family is family.
Family is not an important thing. It's everything.
Vesta. Planète riche, belle, ou la nature côtoie la technologie dans une harmonie parfaite ; ou la beauté côtoie l'immonde. Planète que Kajan n'a que rarement quitté ; qu'il ne quittera sûrement jamais. Sur le balcon de la demeure familiale, il observe ce paysage enchanteur d'une part, entaché de l'horreur de ce qui fait la richesse de sa famille : le nectar. Aussi satisfaisant que soi l'idée de caresser l'immortalité, tout a un prix. Son prix est la mort. Celles des innocents, comme des malfaiteurs.
L'odeur de l'encens lui monte aux narines tandis que s'active, dans la chambre, les embaumeurs qui rendent la dépouille de son frère présentable. Sortez donc, votre Grâce. Non, il ne sort pas, il est là et il attend. Ne pas ressentir la douleur est un fardeau étrange et libérateur. Entendre les machines et les lames qui tranchent les chairs ne l'émeut pas. Pourquoi cela le ferait-il, il ne sait pas ce que ça fait. Mais la douleur mentale, elle, il la connaît et il la ressent. Elle est la preuve que douleur existe dans son monde et dans sa vie. Enfin, ils s'en vont. Kajan pose ses yeux bruns, symbole de chaleur, mais pourtant si froid, sur la dépouille de son défunt frère.
' Ils ne doivent pas régner, Kajan ! ' La quinte de toux qui prit son frère à cet instant, aurait déchiré n'importe qui capable de savoir ce qu'est la douleur. ' Ce sont tes enfants, Anthonis. C'est l'un d'eux qui doit te succéder, pas moi. ' Jamais, le cadet n'aurait cru avoir cette discussion un jour avec son aîné. Le désamour de son frère pour ses enfants, il le connaissait, sans jamais en connaître la raison, mais de là à prendre cette décision. ' Je t'ai servi, toutes ces années, sans jamais me plaindre ou discuter, mais ne me demande pas ça. Je ne veux pas ta place, je ne l'ai jamais voulue ! Je n'usurperai pas la place de tes enfants. ' La respiration du Duc est saccadée, ses membres tremblent et la sueur perle de son front. Kajan se précipite alors pour l'aider à s'asseoir sur son lit. La main de l'aînée se pose sur la joue du cadet, avec l'affection et l'amour fraternel qu'ils ont toujours échangé depuis la naissance du plus jeune. ' Ah, Kajan... je n'ai jamais eu d'enfants, à part toi, mon frère. Ils ne sont pas les miens. '
L'électrochoc, il le ressent encore son âme. Cette confession intime de son frère bientôt mort, sur la véritable ascendance de son neveu et de sa nièce ; des bâtards. Pour autant, peut-on cesser d'aimer, ceux qu'on a aimés inconditionnellement jusqu'alors ? Je n'ai jamais eu d'enfants, à part toi, mon frère... Une larme solitaire roule sur la joue du cadet, terminant sa course dans l'épaisse toison de sa barbe. Anthonis était bien plus vieux que lui, la figure paternelle par excellence, lorsque leur père s'en est allé. Lui aussi s'en était allé désormais, le laissant avec des responsabilités qui n'auraient jamais dû être les siennes ; dont il n'avait jamais voulu. ' Je n'ai jamais voulu du pouvoir. ' Confessait-il encore le soir, assit au chevet du mourant. ' C'est bien pour ça, que c'est à toi, qu'il doit revenir, Kajan. ' Les mains du cadet torde une fois encore, le drap imbibé d'eau froide, qu'il pose sur le front du mourant. ' Je n'en suis pas digne, Anthonis. Pas après tout ce que j'ai fait, pas avec ce que je suis. Je suis un monstre et tu le sais. ' Une dernière fois, la main d'Anthonis s'accroche à son jeune frère. ' Non, tu es ce que l'Univers a fait de toi. Ce que nous avons fait de toi. Kajan... Pardonne-nous, mais surtout, pardonne-toi. '
La main est tombée. L'âme s'est envolée. Il ne reste qu'une enveloppe vide, dans des draps blancs, qui le recouvre partiellement. Son regard est vide, froid, glaciale. Avec le départ de son frère, c'est une partie de lui qui s'en va et les ennuis qui commencent. Je suis ce que l'univers à fait de moi...
L'odeur de l'encens lui monte aux narines tandis que s'active, dans la chambre, les embaumeurs qui rendent la dépouille de son frère présentable. Sortez donc, votre Grâce. Non, il ne sort pas, il est là et il attend. Ne pas ressentir la douleur est un fardeau étrange et libérateur. Entendre les machines et les lames qui tranchent les chairs ne l'émeut pas. Pourquoi cela le ferait-il, il ne sait pas ce que ça fait. Mais la douleur mentale, elle, il la connaît et il la ressent. Elle est la preuve que douleur existe dans son monde et dans sa vie. Enfin, ils s'en vont. Kajan pose ses yeux bruns, symbole de chaleur, mais pourtant si froid, sur la dépouille de son défunt frère.
' Ils ne doivent pas régner, Kajan ! ' La quinte de toux qui prit son frère à cet instant, aurait déchiré n'importe qui capable de savoir ce qu'est la douleur. ' Ce sont tes enfants, Anthonis. C'est l'un d'eux qui doit te succéder, pas moi. ' Jamais, le cadet n'aurait cru avoir cette discussion un jour avec son aîné. Le désamour de son frère pour ses enfants, il le connaissait, sans jamais en connaître la raison, mais de là à prendre cette décision. ' Je t'ai servi, toutes ces années, sans jamais me plaindre ou discuter, mais ne me demande pas ça. Je ne veux pas ta place, je ne l'ai jamais voulue ! Je n'usurperai pas la place de tes enfants. ' La respiration du Duc est saccadée, ses membres tremblent et la sueur perle de son front. Kajan se précipite alors pour l'aider à s'asseoir sur son lit. La main de l'aînée se pose sur la joue du cadet, avec l'affection et l'amour fraternel qu'ils ont toujours échangé depuis la naissance du plus jeune. ' Ah, Kajan... je n'ai jamais eu d'enfants, à part toi, mon frère. Ils ne sont pas les miens. '
L'électrochoc, il le ressent encore son âme. Cette confession intime de son frère bientôt mort, sur la véritable ascendance de son neveu et de sa nièce ; des bâtards. Pour autant, peut-on cesser d'aimer, ceux qu'on a aimés inconditionnellement jusqu'alors ? Je n'ai jamais eu d'enfants, à part toi, mon frère... Une larme solitaire roule sur la joue du cadet, terminant sa course dans l'épaisse toison de sa barbe. Anthonis était bien plus vieux que lui, la figure paternelle par excellence, lorsque leur père s'en est allé. Lui aussi s'en était allé désormais, le laissant avec des responsabilités qui n'auraient jamais dû être les siennes ; dont il n'avait jamais voulu. ' Je n'ai jamais voulu du pouvoir. ' Confessait-il encore le soir, assit au chevet du mourant. ' C'est bien pour ça, que c'est à toi, qu'il doit revenir, Kajan. ' Les mains du cadet torde une fois encore, le drap imbibé d'eau froide, qu'il pose sur le front du mourant. ' Je n'en suis pas digne, Anthonis. Pas après tout ce que j'ai fait, pas avec ce que je suis. Je suis un monstre et tu le sais. ' Une dernière fois, la main d'Anthonis s'accroche à son jeune frère. ' Non, tu es ce que l'Univers a fait de toi. Ce que nous avons fait de toi. Kajan... Pardonne-nous, mais surtout, pardonne-toi. '
La main est tombée. L'âme s'est envolée. Il ne reste qu'une enveloppe vide, dans des draps blancs, qui le recouvre partiellement. Son regard est vide, froid, glaciale. Avec le départ de son frère, c'est une partie de lui qui s'en va et les ennuis qui commencent. Je suis ce que l'univers à fait de moi...
Adriel Arnav
galactic emperor
PNJ there can only be one
Re: — Glory is fleeting, but obscurity is forever. || Kajan A.
tu es validé.e
WELCOME IN THE GALAXY
where are you going ?
i'm going on an adventure.
i'm going on an adventure.
01 le petit mot du staff
Bienvenue cher Duc
02 pour bien débuter l'aventure
Victoire ! Te voilà enfin validé(e) ! Tu peux, à présent, presque commencer à rp. Presque, oui, tu as bien entendu. Parce qu'il te reste deux-trois petites choses à faire avant de se lancer pleinement dans l'aventure. D'abord, tu dois prendre le temps de vérifier dans le Maintenant, le moment le plus sympathique, la
Et pour terminer, tu peux aller faire un tour dans les animations du forum ou le célèbre flood
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Re: — Glory is fleeting, but obscurity is forever. || Kajan A.
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